Il pleut sur le lit.
Il dort encore. La bâtisse s’allonge jusqu’au bord de la falaise. Le jardin est
tombé dans les flots. Il n’a pas peur. Il n’a pas froid, il s’est enroulé dans
une bâche. Il ouvre les yeux, cherche la fuite. Il entend un cargo annoncé son
départ. Il est posté tout en haut dans la cabine immense. Il
voit le ciel noir au loin. Il n’a pas le choix, l’escale a déjà été trop
longue. Il verra selon.
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