dimanche 29 avril 2012

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Il pleut sur le lit. Il dort encore. La bâtisse s’allonge jusqu’au bord de la falaise. Le jardin est tombé dans les flots. Il n’a pas peur. Il n’a pas froid, il s’est enroulé dans une bâche. Il ouvre les yeux, cherche la fuite. Il entend un cargo annoncé son départ. Il est posté tout en haut dans la cabine immense. Il voit le ciel noir au loin. Il n’a pas le choix, l’escale a déjà été trop longue. Il verra selon.

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