mercredi 4 avril 2012

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Ils sont vingt, un peu plus un peu moins. Ils se connaissent depuis le collège, l’école aussi pour deux, trois. Ils se retrouvent dans la cour, au self, aux fêtes, dans les rues, sur le parking. Ils marchent ensemble, en petits groupes, détachés, agglomérés. Ils rient, s’esclaffent doucement, ils regardent, se regardent aussi lentement. Certains se détachent au fur et à mesure de la progression dans une autre rue, dans une autre ville. C’est assez rare. 
Les dehors les jalousent un peu ou s’en moquent. Une force fraternelle.

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